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n'importe quoi celui qui se présente sil a le kilo de se présenter c'est bon
Par Feidi, le 20.04.2019
j'espère que, au nom de daesh,
et au nom de l'état islamique,
que les attentats terroristes seront nombreu
Par Au nom de Daesh, le 29.05.2018
j'aime bien votre univers. mon blog ici : http://marilyn .monroe.over-b log.com/ merci.
Par angeline, le 08.06.2017
beau blog. un plaisir de venir flâner sur vos pages. une belle découverte et un enchantement.n 'hésitez pas à
Par angelilie, le 03.06.2017
je voudrais dénoncer un mariage blanc
je m'appelle azza ben ammar née 17/04/1965 a menzel bourguiba tunis .a
Par azzabenammar, le 07.12.2015
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Date de création : 18.03.2011
Dernière mise à jour :
10.12.2013
2252 articles
Les islamistes tunisiens contre le libre accès à l'internet
2011-06-19
Les juristes islamistes de Tunisie tentent d'obliger les autorités à remettre en place la censure de l'internet en vigueur sous Ben Ali.
Par Houda Trabelsi pour Magharebia à Tunis – 19/06/11
Une récente décision d'un tribunal tunisien exigeant le filtrage de l'internet soulève des questions sur un possible retour de la censure.
La suppression des contrôles sur l'internet au lendemain de la révolution en Tunisie avait provoqué la colère de certains islamistes, notamment de trois avocats conservateurs qui ont tenté d'imposer à nouveau les contrôles sur le web. L'Agence tunisienne de l'internet a refusé de mettre en oeuvre une décision de justice datée du 26 mai destinée à bloquer les sites pornographiques. A la place, l'agence a cherché à maintenir la législation en la matière, une motion qui a été rejetée le 13 juin.
"Ces sites pornographiques ont des effets néfastes sur l'état psychologique, physiologique, social et éducatif des personnes, et vont à l'encontre des valeurs de la société arabo-islamique", a expliqué l'avocat Monem Torki à Magharebia.
En réponse à la décision du tribunal, l'Agence tunisienne de l'internet (ATI) a déclaré ne pas porter seule la responsabilité de la fermeture de ces sites. "D'autres parties sont directement concernées par cette affaire, notamment les fournisseurs de service internet", a déclaré le président de l'agence, Moez Chakchouk, lors d'une conférence de presse organisée le 7 juin.
"L'agence refuse d'entrer dans le jeu du blocage de certains sites, tel qu'il était imposé sous l'ancien régime de Zine El Abidine Ben Ali, qui avait avalisé les décisions de blocage", a souligné Chakchouk.
L'ATI a toutefois annoncé le 14 juin qu'elle respecterait la décision de la cour d'appel du 14 juin et mettrait en place un blocage de sites web pornographiques.
"L'internet a de nombreuses incidences sur l'économie du pays et sur son image à l'étranger. Toute procédure de blocage est donc nuisible à son image, et ce blocage doit se faire dans un cadre légal clairement défini", a ajouté Chakchouk.
Il a également suggéré d'attribuer aux sites web pornographiques leur propre domaine internet, afin de permettre aux internautes de filtrer plus facilement le web selon ce qu'ils jugent approprié. Sept sites pornographiques se classent parmi les cent sites les plus fréquemment consultés en Tunisie, selon les autorités.
Le blocage des sites controversés a soulevé des questions dans la rue tunisienne, certains citoyens affirmant que la consultation de tels sites relève des libertés personnelles et que leur fermeture ne ferait rien pour lutter contre la corruption ou d'autres sujets urgents.
"Honnêtement, ces tentatives juridiques me rendent malade et me font rire", a commenté Mounir Belkacem, un jeune Tunisien. "Ceux qui souhaitent accéder à de tels sites ou regarder des films pornographiques disposent de nombreuses solutions. Ces avocats ne font qu'encourager la théorie selon laquelle tout ce qui est interdit est attirant, et les jeunes Tunisiens sont suffisamment intelligents et compétents pour trouver de nombreux moyens d'accéder à de tels sites."