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n'importe quoi celui qui se présente sil a le kilo de se présenter c'est bon
Par Feidi, le 20.04.2019
j'espère que, au nom de daesh,
et au nom de l'état islamique,
que les attentats terroristes seront nombreu
Par Au nom de Daesh, le 29.05.2018
j'aime bien votre univers. mon blog ici : http://marilyn .monroe.over-b log.com/ merci.
Par angeline, le 08.06.2017
beau blog. un plaisir de venir flâner sur vos pages. une belle découverte et un enchantement.n 'hésitez pas à
Par angelilie, le 03.06.2017
je voudrais dénoncer un mariage blanc
je m'appelle azza ben ammar née 17/04/1965 a menzel bourguiba tunis .a
Par azzabenammar, le 07.12.2015
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Date de création : 18.03.2011
Dernière mise à jour :
10.12.2013
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Ils étaient 182.000 Tunisiens sur Facebook en 2008. 300 mille en février 2009, et presque 3 millions en février 2012. Le nombre d'utilisateurs sur le réseau social a été multiplié par 10 en seulement trois ans. Il faut dire qu'en Tunisie, Facebook n'est pas seulement un réseau social, c'est aussi un « réseau » d'informations.
En Tunisie, quand quelqu'un vous demande : «Quoi de neuf sur Facebook ?», il ne s'attend pas à ce que vous lui parliez de la nouvelle Timeline, ou des nouvelles applications, mais de ce qui se passe dans le pays. Des phrases comme : «Je ne suis pas au courant, je n'ai pas le temps de me connecter sur Facebook aujourd'hui !» ou « oui, j'ai –vu- ça sur Facebook» sont des phrases qu'on entend presque dans toutes les conversations.
L'usage excessif du réseau social, a poussé la sphère politique à s'adapter. Sa présence ne s'est pas réduite à publier des communiqués ou interagir avec les internautes. Facebook est devenu un canal indispensable voire prioritaire pour la diffusion d'informations. D'ailleurs, c'est sur sa page officielle sur Facebook que la Présidence de la République a annoncé en premier, le renvoi de l'ambassadeur syrien le 4 février dernier. La cellule de communication du Président de la République provisoire a visiblement jugé qu'il était inutile de passer par une agence de presse pour informer les gens. Il suffit de publier l'information sur Facebook, le bouton « partage » s'occupera du reste. Il faut croire qu'en Tunisie, Facebook joue le rôle d'une chaîne d'information. Et d'ailleurs, pour les journaux électroniques, le réseau social se classe souvent en tête des sources de trafic.
Cela dit, la Tunisie ne fait pas vraiment l'exception. Tous les grands médias du monde sont présents sur Facebook et essaient d'optimiser au maximum leurs pages pour avoir plus d'audience. Sa croissance exponentielle lui permet désormais de concurrencer Google News tout en étant plus «sociable», car sur Facebook, tu ne cherches pas l'information, c'est l'information qui vient à toi. Les «j'aime», «recommander» et «partager» de tes amis sont là pour te servir sans que t'aies demandé quoi que ce soit. Malorie Lucic, employée chez la firme de Zuckerberg l'a affirmé en 2010 avec son billet Créez votre chaîne d'informations personnalisée, dans lequel elle a souligné l'incroyable croissance du taux de partage et de consommation d'information sur le réseau social. Deux ans plus tard, on ne peut que constater ces effets : selon toutfacebook.com, Facebook représente une page vue sur 5 sur le web mondial et le fameux « J'aime » est cliqué plus de 2,7 Miliards de fois par jour !
Il est bien loin le temps où sur Tekiano on lisait «C'est fait. Les Tunisiens ont finalement franchi la barre symbolique des 300.000 membres», et pourtant ça ne datait que de 2009. Aujourd'hui, le site des statistiques Facebook checkfacebook.com recense 2 925 040 utilisateurs sur le réseau social pour la Tunisie. Près de 3 millions d'utilisateurs sur 4 millions d'utilisateurs Internet (ATI, mai 2011) soit plus de 73%. Même si on prend en compte le fait que certains utilisateurs détiennent plus d'un compte, le chiffre reste élevé.
800 millions d'utilisateurs, numéro dans plusieurs pays, Facebook demeure, malgré toutes les attaques concernant la vie privée des utilisateurs, indétrônable. Pis, pour certains internautes tunisiens, le web se résume presque à Facebook.
Sarah Ben Hamadi
Une majorité d'utilisateurs du réseau social Facebook en Tunisie a « dévié » des objectifs de la Révolution du 14 janvier 2011 pour servir de voie à une «propagande partisane» et «des conflits politiques ».
«Le réseau social Facebook en Tunisie est devenu un espace pour la propagande partisane et un outil d'échanges d'insultes entre les différents utilisateurs et les groupes d'intérêts », ont souligné les participants lors de la rencontre tenue, lundi à Tunis, sous le thème «Dialogue de Blogueurs ».
Par ailleurs, les participants ont souligné que cet espace virtuel constituait désormais un moyen de diffusion de fausses informations après avoir été le bras médiatique de la Révolution qui a chassé le président déchu.
Selon les statistiques publiées sur le site «Check Facebook», Facebook est le réseau social le plus utilisé en Tunisie, avec un nombre d'inscris estimé à deux millions 738 mille.
Le blogueur Sami Ben Garbia (un des fondateurs du blog tunisien Nawaat), a affirmé que le réseau Facebook est actuellement le théâtre d'une bataille rangée entre «conservateurs et laïques » et « de conflits politiciens ».
«Les tunisiens, toutes tendances confondues, sont en train de se massacrer sur Internet» , a indiqué le blogueur, ajoutant que l'humour politique sur le réseau social est devenu une «catastrophe ».
Le blogueur Firas Kéfi, a de son coté, mis en garde contre le phénomène « d'accusation d'impiété répandue sur le réseau facebook », laquelle accusation est adressée essentiellement aux défenseurs de la laïcité.
Il a ajouté que la jeunesse tunisienne, dépourvue de culture politique, ingurgite parfois les contenus extrémistes de Facebook sans distinguer le bon grain de l'ivraie. Pour l'activiste des droits de l'homme, Sihem Ben Sedrine, «les ennemis de la liberté utilisent à leur tour Internet pour diffuser de fausses informations ».
Plein la gueule !
Les médias de la honte ! C'est ainsi que beaucoup de Tunisiens, notamment sur Facebook continuent à appeler nos médias, et ce, malgré la révolution, le changement et surtout la volonté de rapporter une information objective. Plus on essaye de n'en rien cacher, d'aborder tous les sujets, d'ouvrir les débats et de couvrir l'actualité telle qu'elle est, plus dans d'autres camps, des récupérateurs, manipulateurs, ou peut-être simples citoyens révolutionnaires accusent nos médias de les manipuler.
Mercredi, 29 Juin 2011 07:04
Les Tunisiens, réfugiés politiques sur Facebook
Nos concitoyens ne se contentent plus du baratin médiatique qui leur est servi. Connectés sur Facebook, les protagonistes de l’actualité présentent leur propre version des faits. On évoque les cartouches des snipers si bien cachés, et l’agression d’un avocat agressé par un faux barbu mais un vrai «monndass».
Les médias officiels continuent d’ignorer les questions qui fâchent. La grève des policiers notamment à Gabès, et l’intervention d’autres forces de l’ordre est passée quasiment sous silence. Pourtant, la gravité de ce genre de faits n’aura échappé à personne. Pas beaucoup de détails, non plus, sur les salafistes qui ont attaqué dimanche le cinéma AfricArt, et s’en sont pris lundi aux avocats devant un tribunal. L’actualité est ainsi escamotée, tronquée. Quelques condamnations, et le tour est joué.
Le problème, c’est que nos concitoyens ne se contentent plus du baratin médiatique qui leur est servi. Mieux : connectés sur les réseaux sociaux, les protagonistes même de l’actualité présentent leur propre version des faits. Et en l’absence d’éclairage suffisant et convaincant fourni par nos «officiels» la plupart des Tunisiens s’abreuvent aux sources facebookiennes. Les vidéos circulent et sont partagées à la vitesse de la lumière. On aura ainsi tour à tour un représentant du syndicat des policiers qui s’explique sur les cartouches qu’ont utilisées les snipers si bien cachés. On aura aussi un avocat agressé par un faux barbu mais un vrai «monndass». Certaines vidéos mettent même en scène des officiers de la grande muette. Mais visiblement, l’institution militaire n’est plus la seule à se passer de la parole.
11 millions de Tunisiens devenus des réfugiés politique dans le camp retranché de Facebook. La faim et la soif de l’info règne en maître. Et qu’importe s’il nous arrive d’avaler des substances virtuelles empoisonnées. Au moins, on a quelque chose à se mettre sous la dent.
Pendant ce temps, on apprend que Saida Agrebi, l’un des symboles du régime de Zaba est en liberté et gagne même un procès. Pendant qu’on se focalise sur la liberté de blasphémer. Les partis politiques s’occupent de leur com, et dégainent leurs affiches, peaufinent leur logo. Mais aucun ne répond véritablement aux questions de TOUS les Tunisiens. Qui sont les snipers ? Quand la justice sera-t-elle assainie ? Commencera-t-on enfin le grand nettoyage ?
Publié par Amna Ben Belgacem le 28 juin 2011 à 20:08
Concept très drôle et bien recherché, des idées simples et claires, c’est un travail de professionnels, Captain 5obza (à lire khobza) a vite gagné une popularité grâce à Facebook. Les fans de la série ont atteint le seuil de 160 mille en quelques semaines déjà.
Mais qui se cache vraiment derrière la série Captain 5obza ? Des amateurs ou des professionnels ? Le travail est-t-il celui d’une agence de com de la place ? Des questions qui titillent tout le monde.
Nous, on sait que Captain 5obza est le produit d’une équipe de jeunes créateurs. Ils ont inventé le concept et travaillent sur la réalisation des épisodes.
Ils ont bien réussi leurs coup puisque, après le buzz sur le net, les stations radios et chaînes télé les ont toutes contactés. Aux dernières nouvelles, une des chaînes aurait gagné le gros lot ou plutôt sa... khobza.
Captain 5obza sera-t-il la future star de Ramadan ? C'est ce que l'on espère pour ces jeunes créateurs qui ont choisi de rester anonymes pour assurer le bon marketing de ce concept... Et si c'était... Atelier 216 ! ?
webmanagercenter.com - 25 Juin 2011 12:00:00
C’est une citoyenne qui, il y a quelques jours, criait au micro de Mosaïque FM: «SVP! arrêtez cette hémorragie d’insolences sur article.php?id=46210" target="_blank">Facebook! Vous devez savoir que nos enfants lisent tout ce qui s’y écrit». Et il est en effet fort temps d’en parler.
On avait vraiment pensé que les choses avaient -un temps soit peu- changé en Tunisie après la Révolution du 14 janvier 2011 quant au rapport du Tunisien à son compatriote. Mais nous voilà ébahis, choqués, devant ce qu’on lit quotidiennement sur les pages de Facebook, ce réseau social et moyen de communication salué par tous, vu le rôle qu’il avait joué avant la Révolution, au cours des événements et après.
Ce qui est choquant aujourd’hui et très déconcertant, c’est que quand on va sur article.php?id=79992" target="_blank">Facebook pour suivre n’importe quel débat sur ce qui se passe dans le pays, on lit des propos, pour le moins moqueurs et haineux, qui relèvent d’une attitude hautaine. On se demande pourquoi les choses en arrivent jusque-là? Pourquoi cet espace de dialogue devient-il un terrain de conflit et d’insultes entre personnes qui se cachent pour la plupart derrière des pseudonymes et des profils? Pourquoi le débat prend-il cette tournure?
On est malheureusement face à une terminologie d’arrogance, de discrimination, de supériorité (évidemment non fondée). On ne peut qu’être consterné par ce qu’on lit, et on commence vraiment à se poser de sérieuses questions: A-t-on fait une Révolution qui va probablement changer la face du monde, pour la réduire, nous réduire à ce genre de «discussions»? Ce serait vraiment triste.
D’une page à l’autre et d’un sujet à l’autre, les uns et les autres se traitent de mécréants (kafer, molhed), de traître (khayin), d’ignorants et ignare (jahel), d’arriérés (jboura), ceux qui sont originaires des «coins perdus et oubliés» (jmaat wra el blayek), et la liste est longue. Bref, un champ lexical lamentable. On est qui pour donner ces appellations? Et ceux qui sont ainsi décrits, ils le sont par rapport à qui? Selon quels critères? Comment a-t-on évalué les choses? De quel angle juge-t-on? Qui est le porte-parole de la Vérité absolue? Et par dessus tout, où est le respect «minimum» que chacun se doit de respecter?!
D’abord, cela ne peut que relever d’un manque de maturité et montre que c’est loin d’être à la hauteur d’une Révolution comme la nôtre.
Quand on insulte l’Autre en faisant référence à des difficultés sociales et économiques, cela est-il une force, cela montre-t-il qu’on est meilleur comme on veut le montrer? On ne le pense pas. Car tout simplement, on ne choisit pas forcément sa situation sociale, ni économique d’ailleurs. Selon quels critères peut-on se permettre de mépriser les autres? On est qui pour les mépriser, au nom de quoi, par rapport à quoi? La seule et unique réponse, aussi bizarre que cela puisse paraître, c’est peut-être parce qu’ils ont subi l’injustice de deux politiques successives qui les a ignorés, discriminés, méprisés! Mise à part une histoire d’oubli et de mise à l’écart, on ne peut rien leur reprocher: ils ont défendu leurs pays contre le colonisateur, ils ont travaillé, ils ont étudié, ils ont surmonté les difficultés: pauvreté, éloignement géographique, l’arrogance de certains, (le fameux terme nozouh), les moqueries quant au dialecte et surtout au «ga» des «jboura» comme disent certains!
A ceux-là, il faudrait juste rappeler que pour «se permettre» de se moquer des autres, il faut leur donner les mêmes chances, les mêmes opportunités, les mêmes conditions d’étude, de travail et de divertissement et les « juger» par la suite, puisqu’on tient toujours à juger l’autre et à faire des comparaisons!
Nous avons tous vu, après la Révolution, des reportages et des émissions sur des villages en Tunisie, qui ont montré un courage, un optimisme, une résistance aux problèmes de toute nature des habitants, toutes tranches d’âge confondues, et des fois mêmes, une joie de vivre malgré tout, qui ne peuvent être que respectés et salués.
Un groupe de Facebookeurs a lancé l’idée de ce rassemblement ouvert à tous les Tunisiens.Objectif : Défendre une transition démocratique et plus de transparence loin de la politique des partis et des organismes intéressés par le pouvoir. Rendez-vous aujourd’hui, à la place des Droits de l'Homme, Avenue Mohamed V, à 15h.
Facebook a révélé toute son utilité lors de la Révolution tunisienne. Depuis lors, infos et intox se relaient sur les présumées implications de chacun ou sur la nouvelle, fausse ou vraie, moralité d’autres. Des actions de solidarité y sont organisées… Les Tunisiens y partagent leurs inquiétudes et leur désarroi face à la tournure des évènements. C’est dans ce cadre chaotique qu’est né le collectif Kelmetna.
Un groupe d’internautes a lancé l’idée de ce rassemblement ouvert à tous les Tunisiens. L’évènement Kelmetna est né, grâce à l’initiative de facebookeurs comme Yassine Ayari, Wissal Khamassi, Kais Belhajali, et Linda Mega Meganem.
Objectif : Défendre une transition démocratique et plus de transparence loin de la politique des partis et des organismes intéressés par le pouvoir. Ainsi, tous les Tunisiens, hommes, femmes, jeunes, moins jeunes, travailleurs ou pas, impliqués dans un parti ou pas, sont invités à venir dire « kelmethoum » le samedi 11 Juin 2011, à la place des Droits de l'Homme, Avenue Mohamed V, de 15h à 19h.
Leur mot d’ordre est « ils veulent nous empêcher de rêver… on va les empêcher de dormir! »
Leurs revendications s’articulent autour de 3 axes :
- dévoiler les détails du déroulement et des accords conclus lors du sommet des G8 à Deauville, auquel le Premier ministre provisoire Tunisien a assisté.
- présenter des garanties sérieuses (outre la parole de M. Essebssi) pour l'engagement au respect de la nouvelle date des élections, en désignant les responsables du maintien et du respect de l'échéance en question des garanties. Les causes, les erreurs qui ont conduits à ce retard, et les responsables du retard doivent être identifiés et des plans concrets doivent être établis pour ne plus les reproduire.
- engager une enquête sérieuse et immédiate concernant les événements survenus à Metlaoui et condamner les responsables actifs et ceux qui ont contribué au bain de sang par leur passivité.
Publié par KAIS El Ghoul le 19 mai 2011 à 11:28
La page Facebook du ministère de l'Intérieur est devenue une véritable source d'informations. Cela a été particulièrement le cas hier, concernant les affrontements à Siliana.
Ce ministère, tant décrié et critiqué se rapproche ainsi du public et souhaite apparemment aller encore plus de l'avant. Pour preuve, la page en question affiche, affiche depuis peu, dans la colonne gauche (intérêts) un lien direct vers une autre page Facebook qui porte le nom "Freinds For Ever".
Et oui ! Freinds et non Friends ! Qu'importe, une faute de frappe tout de même "pardonnable". Vous aviez sûrement compris le sens : "Amis pour toujours"
En fouillant dans le contenu de cette dernière, on peut remarquer que cette page a été récemment créée : sa première publication date du lundi 16 mai 2011. Elle contient des publications soutenant l’amitié et l’amour. "Freinds For Ever" a réciproquement, comme intérêt, la page officielle du ministère. Et la photo principale de la page pose la question "Pour toi c’est quoi l’amitié ? ". Une question ambiguë que les utilisateurs ont du mal à saisir en attendant un complément d'informations de la part du ministère de l'Intérieur. Ou alors est-ce simplement une façon pour le ministère de manifester son amitié à tous les utilisateurs !?